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Atelier Flash : faire un film en 48h

  • Photo du rédacteur: cinecamillevernet
    cinecamillevernet
  • il y a 1 jour
  • 2 min de lecture

Nous voulions filmer l'intérieur d'un bar pour connaître le genre de conversations qu'il pouvait y avoir et étudier les relations entre les clients et la patronne du café. La seule chose qui nous a paru difficile était l'espace pour poser le matériel car l'endroit était très exigu mais heureusement, les gens étaient très gentils et Bernadette a été très patiente avec nous.



Dans cette atelier qui s'est déroulé sur deux jours dans le cadre du film documentaire. Nous avons voulu filmer l'identité de la rue. De l’extérieur, en passant devant les vitrines, mais aussi à l’intérieur, en rentrant dans les commerces. On filme également les passants et les propriétaires qui travaillent dans la rue. Ce qui nous a le plus étonné dans la rue ce sont ces vitrines qui véhiculent une ambiance inquiétante mais qu'on a pas fait ressentir à l'image. Justement on a privilégié la rencontre avec l'autre.


Nous avons filmé l'intérieur de deux laveries de Valence. Nous voulions montrer l'ambiance d'une laverie, et les différentes personnes qui les utilisaient. Nous avons remarqué que les gens qu'on filmait étaient très impliquéfs, et aussi perturbés par la présence d'une caméra face à eux. Les interactions avec les personnes se sont très bien passées, même si quelques fois il y a eu de légères incompréhensions à cause de la barrière de la langue.


Chez le fleuriste « jardin de Nice » de la rue des Alpes, très peu de clients sont venus, l’ambiance était calme et contemplative mais aussi dans l’attente d’activité. Nous avons cherché à retranscrire cette ambiance en montrant peu d’action à l’écran. Ici les fleurs sont immobiles mais elles nous parlent et sont notre seule source de divertissement, de même pour la fleuriste, Oriane, qui nous a beaucoup parlé de son métier et de son rapport aux fleurs, un lien très personnel que nous nous sommes efforcés de faire ressentir pour les spectateurs.



Ce court-métrage raconte la vie simple et pourtant riche d’un parc de quartier. À travers les images nous avons voulu montrer comment un lieu peut accueillir des générations différentes et devenir un espace de rencontre, de partage. On y voit des enfants jouer avec la MJC, rire, courir, et s’amuser. Un peu plus loin, des personnes âgées attendent, observent, jouent à la pétanque, prennent le temps. elles incarnent une autre manière d’habiter le parc, plus lente, plus contemplative, les parties de pétanque rassemblent des habitués entre concentration et plaisanteries, continuent de faire vivre les traditions.

Notre intention était de montrer que le parc est bien plus qu’un lieu de passage. C’est un endroit où se croisent les âges et les histoires. Un espace commun où chacun à sa manière écrit un petit morceau de la vie du quartier.

 
 
 

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